Nul ne peut prétendre comprendre ou se mettre à la place de celui qui vit , traverse ou subit un malheur .Néanmoins la compassion de l’être humain loin de toute idiologie, foi, croyance et autre religion envers son prochain reste le devoir de nous tous.
Te dire chère Zohar que ce que tu vis est simple ou commun serait pure affabulation, mais penser que c’est la fin de tout, c’est aussi aller vite en besogne.
Dans ton cas, je pense qu’un concours de circonstances inoui a chamboulé ton existence…Chercher à trouver un responsable serait à mon avis négatif , positiver est plus judicieux , je le dis non pas que je sois savant ; mais plutôt par discernement et sans émotion que tu peux ressentir, tant il est vrai que ce n’est pas simple ce que tu vis.
Prendre un peu de recul est peut être le début d’une solution ; se dire aussi que rien n’est définitif ( sauf la mort ) et que tout prete à changement..L’adage qui dit ( tant qu’il y a la vie , il y a de l’espoir ) prend dans ton cas une belle signification.
Personne ne peut s’ériger en directeur de conscience, mais en tant qu’humain, fils d’Abraham, nous sommes tenus non seulement de compatir mais d’agir, aider, conseiller, et prier pour une issue heureuse.
La foi, dans tout les cas est importante..Ne baisse pas les bras, n’ampute à personne la faute ni à toi-même , la vie est faite de haut et de bas,dis toi que tout est éphémère , ne sois pas fataliste, pense à ceux que tu aimes et qui t’aiment, oublis les préjugés, va de l’avant..la vie vaut la peine d’être vécu et surtout pardonne et c’est peut être la solution.
Tu auras constaté que je t’écris en français pour une meilleure approche et une communication fluide que je souhaite aussi pour notre relation.